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Marine-perruche

Discussions « The Alex Studies, Cognitive and Communicative Abilities of Grey Parrots » Irene M. Pepperberg

Messages recommandés

Discussions autour de la lecture :

« The Alex Studies : Cognitive and Communicative Abilities of Grey Parrots »
De Irene Maxine Pepperberg, 1999


Vous pouvez retrouver le livre en vente (Anglais uniquement) sur Amazon.fr Like a Star @ heaven





Irène Maxine Pepperberg (née le 1er avril 1949 à Brooklyn, New York) est une neurochimiste américaine de l’université de Brandeis à Waltham, connue pour ses travaux sur l'intelligence animale. Elle conclut ses études de chimie au Massachusetts Institute of Technology par un Bachelor of Science (1969), puis passa un Master of Arts (M.A., 1971) et un doctorat en chimie physique (1976) à l’université Harvard.

Ses recherches portent sur les principes du langage et de la communication animale ; en particulier, elle s'est intéressée aux différences de fonctions cérébrales entre les mammifères et les oiseaux.

Les expériences d’Irène Pepperberg avec un perroquet "gris du Gabon" nommé Alex constituent à ce jour l'une des principales sources de connaissances sur le langage animal. Le vocabulaire d’Alex et l'utilisation que cet animal était capable d'en faire ont conduit à réévaluer les capacités cognitives des oiseaux. La capacité de ce perroquet econnaître le sens des mots, et à les réemployer a été comparée par Pepperberg à celle d'un enfant de 4 ans. Le perroquet sait également reconnaître la forme , la couleur , et la matière des objets .






Like a Star @ heaven

J'ai donc acheté le livre, qui est en magnifique Anglais scientifique (compliqué pour quelqu'un de mon niveau ). Mais je relève le défis avec un dictionnaire Anglais-Français scientifique et un dictionnaire du langage courant, et j'en suis déjà à la page... Tadada....... 7 !

Je dois avouer que c'est pas de la tarte, mais ça promet une mine d'informations que je finirai par décrypter !! Rien que l'intro est géniale.

Alors pour ce qui sont plus (ou moins) doués que moi en Anglais et qui ont lu ou attaqué le livre "The Alex Studies", n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et ce qu'il a pu vous apprendre !!



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Pffffffff...... Rolling EyesLaughing Rien que de savoir que l'anglais scientifique est employé me rebute "un peu"... Pourtant mon anglais scolaire était plus que bon. Wink Il va sans dire que me concernant, je compte sur toi, Marine. :rire:

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J'ai commencé à lire il y a deux ans, j'ai finalement abandonné...et je ne me souviesn guère du contenu, en effet c'était très intéressant, mais trop coûteux en dépit de mon niveau d'anglais.

je verrai si je me sens le courage d'y jeter un oeil, mais je menque cruellement de temps actuellement. En outre, je lis énromément dans le cadre de mon activité professionelle, et le soir, même si j'ai des nouveaux yeux, je limite la lecture car je sens que j'en fait déjà trop...

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J'ai fais relire des passages dont j'avais des difficultés à interpréter à des collègues bilingues, qui eux-même m'ont avouer que c'était quand même compliqué de traduire. Il faut vraiment comprendre le contexte.

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Et il faut, à mon humble avis, être calée en psychologie pour comprendre la démarche scientifique, démarche de recherche ayant ses règles propres.

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C'est tout à fait cela, sinon en lisant, c'est comme si on passait à travers l'argumentation, on comprend les mots mais pas le sens profond finalement.

Quoi qu'il en soit, je me suis mise au défit de le lire, peut-être que je finirai par abandonner, ou peut-être pas, mais je vous tiens au courant des découvertes et de la suite. C'est tellement dommage qu'il n'ait pas été traduit. Au moins après ça, je ne pourrai être que meilleur en Anglais :rire:

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Tu as raison de voirles choses comme ça Marine! Moi aussi je regrette que ce ne soit pas traduit, mais à mon avis le public potentiel est trop restreint.

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Il y a une partie Marie où j'aimerai connaitre ton avis sur le texte, ce que tu comprend de cet extrait. C'est dans introduction, page 3, à partir de la 11ème ligne jusqu'à la fin du paragraphe au 2/3 de la page.

(pour te repérer : )
"thus, for example, an animal saw an environmental stimulus, such as a green-lit button in one location ; [...] "the rules of learning were universal."

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Arf, il faut que je me le prenne ce bouquin!!! :heart2: Vous me faites baver! Razz

Je pense que moi aussi je vais avoir du mal à tout capter!

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J'en parlerais sur le forum de la fondation, Marine, si tu as remarqué bon nombre de membres sont anglophones... elles ont peut-être lu cet ouvrage?

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Bon, puisque ça ne marche pas sur le site de la fondation, elles ne l'ont pas lu ce bouqin...

Bon, je me suis occupée du cas en retrouvant sur le net au moins les 86 premières pages de cet ouvrage, accessible à tous en tapant le titre dans Google Livres «The Alex Studies : Cognitive and Communicative Abilities of Grey Parrots», - on ne peut pas mettre le lien, il faut chercher si ça vous intéresse - j'ai fait valider ce que j'en comprends par mon ami Jean, psychologue behavioriste, ça tombait dans son élément.




Par exemple, si l’oiseau appuie sur un bouton vert, dans un endroit quelconque, et qu’on le récompense suite à cette action, il associera le bouton vert à la gratification. On renforce son comportement. On crée l’association entre le bouton vert et la récompense. À chaque fois qu'il verra un bouton vert sur lequel appuyer, il saura que cette action entraîne une réponse plaisante.

Si quand l'oiseau appuie sur le bouton rouge rien ne se produit, c'et comme si ça tombait à plat, l'association n'a pas lieu.

Les behavioristes décortiquent ainsi les séquences, même pour les comportements les plus complexes : une réponse agréable, dans le cas qui nous occupe, entraîne la répétition du geste, quel que soit l'endroit où ça se produit parce que l'oiseau anticipe une réponse agréable.

L'association a lieu, le renforcement se fait.

Ce comportement de renforcement s'observe chez tous les animaux (je dirais, y compris nous....). Est-ce ce que tu en comprenais?



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Merci Christiane

C'est très gentil d'avoir pris la peine d'interroger ton ami pour l'interprétation du passage. C'est à peut près ce que j'en ai compris, le conditionnement opérant entre autre, et que la règle de l'apprentissage est universelle, quelle que soit l'espèce concernée.

Ce que j'aurai bien aimé savoir, c'est ce qu'en pense Irène Pepperberg. Si elle appuie cette idée, ce procédé ou si elle lui impute des limites.

Parce qu'après avoir lu Rémi Chauvin, je me rend compte que ce dernier avait compris quelque chose qu'Irène n'aurait peut être pas tout à fait compris (sauf si je n'ai pas compris ou cerné certains passages, vu mon faible niveau). C'est l'importance du milieu, de son enrichissement et de ce qu'il soit le moins stérile et le plus naturel, en corrélation avec les besoins des espèces concernées. bref, une cage, une boite, un bouton et une récompense, ça n'est pas pour lui la meilleur méthode d'observer l'intelligence animale.

C'est ce que je considère. Et j'aurai aimé connaitre le point de vue d'Irène Pepperberg, et dans ce passage je me demandais si elle l'avait fait ?

En tout cas merci Smile

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Ici on est dans le cognitif - comment un apprentissage se renforce, mais il n'est nullement question de qualitatif qu'impliquerait l'enrichissement du milieu.

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C'est pas tant l'aspect qualitatif qui est évoqué en premier lieu (même si elle l'est également) par l'éthologue R. Chauvin mais par le fait que l'environnement permet de donner de meilleurs résultats lors du conditionnement opérant et de l'apprentissage (renforcement ou diminution).

Je me demandais si Pepperberg partageait l'avis. M'enfin il me reste 350 pages pour le découvrir !

C'est bien qu'il soit en libre accès pour les 80 premières pages.

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